La tristesse pourrait paraître une émotion bien minime, comparée à ses autres comparses de la gamme émotionnelle... mais il n'en est rien.
Cette émotion peut parfois être tellement profondément ancré qu'elle réussit à éteindre ce qui est, selon moi, une sublime et merveilleuse qualité de vie, "la joie de vivre"...
En cas de tristesse installée, chronique, c'est comme essayer de rallumer un feu sous la pluie...
Heureusement, la tristesse est bien plus souvent en tant qu'émotion passagère (sinon ce serait un sentiment) simplement le fait de se sentir juste un peu malheureux et cela fait qu’il est pénible de se lever le matin ou de parler aux autres.
Et donc lorsque la tristesse est une émotion minime, elle s’améliore rapidement, pour peu que le conscient se nourrisse d'un événement positif.... car comme on le dit souvent "après la pluie le beau temps"...
La tristesse peut, dans certains cas, être associée aux sentiments de désespoir, de chagrin, d'impuissance et de déception. Alors, cela peut se manifester par des pleurs, une perte de gout des choses ou encore même une perte d'énergie. On retrouve d'ailleurs souvent un état apathique chez les personnes tristes.
Dans certaines pathologies sévères, la tristesse peut déclencher chez la personne atteinte une importante léthargie, et surtout un isolement social.
